Nous avons sorti de nouveaux chapitres pour tous nos projets et rattrapé ainsi notre retard.
Pour les lires, RVD à la page du projet qui vous interresse.
A bientôt !
À partir d’aujourd’hui, je change le titre de la série.
Alors « Winner Take All », devient « Le Gagnant Prend Tout ».
« Le Gagnant Prend
Tout » ou « LGPT » en abrégé, je trouve que ça sonne plutôt bien. Pas vous ?
En tout
cas, le chapitre 4 est là. Les choses s’installent petit à petit. Les
voyants passent du vert à l’orange. Encore quelques petits chapitres et
ils passeront au rouge ! ^^
A-t-on déjà vu un loup affamé détourner le regard d’une proie ?
Dans ce troisième chapitre, le
loup s’approche à pas feutrés. Il sourit de son plus beau sourire. Dans ces
yeux brille la plus innocente des lueurs. La patte qu’il tend est très
douce.
La proie baisse sa garde. Le loup n’est pas un loup à ses yeux, mais le plus innocent des agneaux. Elle aussi tend la patte.
Le loup la prend et la serre.
Dans son cœur, il jubile.
Moi, je les observe et j’esquisse
un sourire. Mon esprit anticipe la suite des évènements.
On continue nos sorties de la
semaine avec le deuxième chapitre de WTA.
Après Li Shuo, nous faisons la
connaissance de Zhao Jinxin, notre second protagoniste.
Je me demande lequel est Li Shuo
et lequel est Zhao Jinxin sur la couverture ? ^^
Entre les deux hommes, qui sera l’époux
et qui sera la femme ?
En tout cas, ils ont la classe
sur l’image. J’adore. ^^
Pour lire l’entrée en scène de
Zhao Jinxin, rendez-vous dans la rubrique lecture ou sur la page de la série.
Quant à moi, je vous dis à
bientôt pour une nouvelle sortie.
On ouvre le blogue par le premier chapitre de Winner take All.
Je ne suis pas très douée pour vendre une œuvre
même si je l’apprécie énormément.
Alors pour vous faire votre idée sur cette
petite merveille venue de Chine, rendez-vous à la page du résumé de l’œuvre, ici.
En espérant que le résumé et ce premier
chapitre attiseront davantage votre curiosité sur cette belle histoire écrite
par cette célèbre auteur chinoise de Damnei (équivalence du Yaoi japonais
en Chine), Shui Qian Cheng, peu connue dans la francophonie.