- Ah…
Le doux gémissement qui retentit
surprit Big.
- T’es réveillé ou t’es pas réveillé ? Mec, décide-toi,
murmura-t-il.
Il se retourna avec nervosité
pour chercher la bouteille de vin qu’il avait ordonné à ses subordonnés de
servir à Dragon jusqu’à l’évanouissement.
- Mais pourquoi ai-je deux
bouteilles ? Laquelle est laquelle ? Laquelle
des deux est celle que j’ai ordonné à mes gardes d’utiliser ? Je ne sais
pas.
- Ah… Hum…
Sur le lit, Dragon commençait à
gémir de plus en plus fort.
- Merde. Tant pis.
Big s’empressa de soulever la
bouteille de vin rouge avec l’étiquette et en fit boire une bonne quantité à
Dragon.
- Rendors-toi.
Un peu de vin coula à l’angle des
lèvres de Dragon, alors que Big renversait l’alcool dans sa bouche. Posant la bouteille
sur la table de chevet, Big aplatit sa paume sur sa bouche pour le contraire à
avaler la liqueur. Puis, lorsque Dragon cessa de gémir, il retira sa main de
ses lèvres et écarta pleinement ses cuisses, exposant intégralement son pénis devant
la caméra. Le téléphone était d’ailleurs si bien positionné qu’on avait une
vision panoramique de son entrejambe.
- Chaud… hum, gémit à nouveau Dragon
aussitôt que la main pâle de Big saisit sa grosse verge.
Son magnifique visage se tordait
à chacun des gémissements qu’il émettait tandis que son pénis peaufinait son érection
devant les yeux ébahis de Big.
- Mais, qu’est-ce que…
Tout à coup, deux bras fermes enlacèrent
Big par surprise et il tomba sur le torse de Dragon.
- Tu sens bon, ronronna Dragon en
le reniflant du cou jusqu’à la gorge. C’est si bon.
Puis il mordit sa lèvre
inférieure.
Big se figea, pris de court par
cette action. Quand il sortit de sa torpeur, il tenta de se libérer des bras de
Dragon, mais c’était déjà trop tard.
- Où vas-tu ?
s’enquit Dragon dans le creux de son oreille.
Le corps de Big fut couvert de
chair de poule et il frissonna de tout son être, car jamais aucun homme ne lui avait
encore chuchoté à l’oreille de cette manière.
Big souleva une jambe, prêt à
fuir. Hélas, cette action causa sa perte, parce qu’elle s’avéra être du pain bénit
pour Dragon, son unique chance de le coincer entre ses cuisses. Facilement, et en
deux temps, trois mouvements, Dragon emprisonna sa jambe entre les siennes et
resserra son étreinte. Ensuite, attrapant sa verge, sa large main brulante se
mit à frotter gentiment le gland.
Un gros frisson secoua Big à
hauteur des hanches quand les doigts de Dragon tâtèrent habilement son périnée
à la recherche de son orifice anal.
- Où est ton trou ? s’enquit Dragon d’une voix trahissant toute la frustration qu’il ressentait de ne pas trouver ce qu’il cherchait.
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