A-t-on déjà vu un loup affamé détourner le regard d’une proie ?
Dans ce troisième chapitre, le
loup s’approche à pas feutrés. Il sourit de son plus beau sourire. Dans ces
yeux brille la plus innocente des lueurs. La patte qu’il tend est très
douce.
La proie baisse sa garde. Le loup n’est pas un loup à ses yeux, mais le plus innocent des agneaux. Elle aussi tend la patte.
Le loup la prend et la serre.
Dans son cœur, il jubile.
Moi, je les observe et j’esquisse
un sourire. Mon esprit anticipe la suite des évènements.
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